lundi 10 novembre 2014

Arrivée à Adélaïde

Le début du voyage commence bien : notre vol Genève - Francfort a du retard et notre halte à Francfort est trop courte pour se permettre quelques minutes de retard. Du coup, Singapore Airline nous propose gentiment de prendre un vol plus tôt...dans 10 minutes. Ni une ni deux, nous voilà obligé de courir rattraper notre avion sans avoir le temps de dire un au revoir émouvant à ma mère. Bien !

Le vol entre Francfort et Singapour dure 11h. Finalement, il passe assez vite. Merci Marie-Claude Dentan et son livre "Comment ne plus avoir peur en avion", pour moi ça a très bien marché ce coup ci.
Pendant la halte à Singapour, la compagnie Singapore Airline propose de visiter la ville gratuitement avec un mini bus et guide. Le temps annoncé est de 2h, le temps passé est de 1h...mais bon ça fait passer le temps quand même. Et puis l'aéroport en lui même est assez agréable, on peut visiter une jolie serre aux papillons, il y a même un cinéma gratuit. Là encore, ça passe le temps agréablement.

...

Arrivée à Adélaïde à 8h du matin. Le passage de la douane se passe comme prévu : mal. Après avoir mis plus de 30 minutes à biiiiien vérifier nos passeports, partir avec, ne pas revenir, s'interroger du coin de l’œil, on se fait fouiller par un chien (ouf, on n'a pas pensé à se ramener un petit bout de fromage). Mais bon, on entre enfin en Australie...il y fait froid. Pour l'Australie caliente, on repassera...normal en hiver me direz vous, mais quand même !
Adélaïde, ce n'est ni Sydney, ni Melbourne donc...le bus ne coûte que $5 pour nous amener en ville. Ville qui se trouve d'ailleurs à moins de 15 minutes. Déjà, on sait pourquoi on a choisit cette ville (bien sur aussi parceque ma Fac ne proposait pas d'échange avec Sydney...bref).

L'auberge 'Backpack Oz" est au centre ville, facile à atteindre, proprette. La chambre, pas chère, est quasi en plein milieu du salon mais à priori il y a pire : la cave ; donc on ne se plaint pas. Et puis on n'a pas l'intention d'y rester.
Il est 10h du matin, il ne faut pas dormir, il ne faut pas dormir, ilnefautpasdormir : on part visiter la ville.


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